Je pénetrai dans cette Salle par un passage que Dolohov m'avait dévoilé, là, personne ne se tenait, nous étions vendredi soir, et nous devrions attendre toute la nuit pour mettre notre plan en action... Nous, oui nous, Karl ne devrait pas tarder, je m'approchai de la cheminée éteinte et fis craquer les brindilles les embrasant dans un Incendio informulé... nous devions être discrets, et nous dissimuler jusqu'à l'heure désirée... Une fois l'incendie allumai, je m'en éloignai.. C'est alors que des flammes vertes jaillirent au milieu de l'incendie et Karl apparut:
- Tu en as mis du temps. J'ai failli attendre, ne t'y avises plus...
L'odeur du sang coulant dans ses veines, rappela en moi le vif souvenir de l'attaque du village... Tous ces cris, cette terreur. Si tout se passait bien, la mort frapperait sûrement demain encore.