La fuite .

Percy avais fuit . Devant lui une porte noir , une porte d'un noir de nuit , d'un noir de jais . Il courru a toute vitesse , sentant une faux l'atteindre , il sautit ...

Il avais combattu la mort pendant plusieurs jours dans le couloir blanc . Il avais utilisés tout les sortiléges de sa conaissance , et parfois même des sorts qu'il pensé ne savoir jamais utilisés : Il s'était caché , camouflé . Pendant ce temps interminable , il n'avais cessé de pleuré , dans se couloir blanc . Il pensé a sa famille . George , sa mére , son pére , Ginny , Ron , Albus , James , Lily , Hugo , Rose , Alexia , Harry ... Puis Fred, Lupin , Tonks et Dumbledore , qui l'avais parfois aidé dans cet horrible couloir , qui ne portais que l'horreur du desespoir . Parfois , il lui sembla que des homme en blouse blanche l'avais aidé , et lui avais sauvé la vie . Dans se long voyage périlleux ...

Puis , il avais vu cet porte , il avais tout oublié pour courir . Sauté .

Il était allongé sur son lit d'hopital . Il ouvrit les yeux , tout , tou doucement , la torpeur de son sommeil l'avais raidit . Ses membres était si engourdit , qu'il lui donnais l'impréssion d'avoir était vraiment mort pendant plusieurs jours ... Il vit autour de lui sa chambre , blanche , blanche , blanche . Percy hurle alors , les larmes qui coulent sur ses joue, sa voix qui apelle les gens qu'il aime , sa famille . Il voie qu'il et vivant , qu'il battu les monstres qui lui en voulais aprés sa vie . Il ne sera plus jamais le même . Autour de lui accourent les médicomage ... Et autour de lui il se pressent pour le calmé . Lui font boire une potion immonde . Il se rendort .

Puis , le temps passe encore . Dans sa tête , des réves mouvementés ,de mort et de peur . Il sais trés bien qu'il et vivant , mais il a vu tant de choses qu'il n'osais envisagés jusque la , qu'il ne parvient pas a les extraitre .Entre deux passages de médicomage , il entant dire que pour l'instant , les visites sont interdites . Il pleure la nuit . Puis un matin :

Percy se reveille . Il ouvre les yeux , mais la chambre blanche ne lui fait plus peur du tout . Il apelle doucement . Doucement , ses têtes familiéres apparaissent , prennent les nouvelles , lui expliquent la situation . Une journée passe , on l'examine , on lui fait des droles de tests avec de drole d'objets qui le sonde de ses orteils a son coeur . Il commence doucement a se reconstruire .

Puis vient le premier jours ou les visites sont ouvertes : Il entend toqué a la porte ...

Tod marchait dans le couloir de Ste Mangouste, il venais voire un ami a lui, Percy qui étais tomber des mains de Kamiraz, il avais gagner le duel mais n’en étais pas sortit sans dommage… mais il s’en était sortit c’étais ça qui étais dommage… il avait demandé au médicomage de l’accueil où étai la cambre de l’auror et on lui avais indiqué où elle se trouvait. Il marchais vers la cambre bien gardée… Tod dévisageait les gardes, et frappa a la porte et sans attendre de réponse entra dans la chambre…

Haaaa, il vous a bien arranger ! dit-t-il d’une vois plus triomphante qui compatissante. A au fait bonjour tout le monde, et bonjour Percy, sa fait plaisir de vous voire…
Expliquez moi comment il a réussit a vous blessé autant, vous le grand auror … dit-t-il d’une voix sarcastique…

Tod souriait, toujours son ignoble rictus aux lèvres.

Léane avait appris ce qui était arrivé à cet homme qu'elle avait rencontré plusieurs fois avec sa grand-mère. Elle avait reçu un hibou le matin même lui apprenant la mauvaise nouvelle. Elle s'étit donc précipitée au chevet du malade pour prendre de ses nouvelles. Elle espérait qu'il se souviendrait d'elle... Cela faisait plus de deux ans qu'ils ne s'étaient croisés... Et elle avait tellement changé depuis... Elle était un peu angoissée à l'idée d'aller le voir, dans cette chambre d'hopital... Après tout, ils ne se conaissaient pas vraiment... Ce n'était pas avec quelques "saluts" entre deux boutiques qu'ils pouvaient se qualifier d'amis. Léane n'avait pas pris le temps de se changer avant de venir. Elle avait simplement enfiler un manteau noir et une écharpe aux couleurs de poufsouffle. Elle demanda à l'éccueil le numéro de la chambre où se trouvait Percy. On la lui indiqua. Elle allait courir mais se souvenant qu'elle se trouvait dans un hopital, elle se contenta de marcher.
La chambre était gardée... Pas de doute, il s'agissait bien de celle de l'Auror. Elle passa devant les gardes, intimidée.
Puis, elle inspira profondément et frappa à la porte. Elle ne voulait pas déranger, alors elle attendrait qu'on lui intime d'entrer.

Percy avais dis a la personne qui avais toqué de rentré . Tod Graindor . Qu'aurai t'il pu y avoir de pire que cet enfoiré de premiére ... Il ne lui sourit pas . Les pas de l'homme de l'ombre , qui martelé le sol dans un bruit sourd , se firent moin distant . Percy se demanda si il ne ferai pas mieu d'hurlé au garde qui était posté devant sa porte de l'arrêté . Il aurai pu le faire ... Mais il avais un marché avec Tod, et lui le respecterai ... Même si c'était une enflure autant qu'un détraqué , c'était un homme de parole , avec un honneur surdimensionné : Comme tout les grands homme , sombre ou bénéfique . Il le regarda, les yeux de Percy contenais toute la haine qu'il pouvais jeté a Tod, des éclairs semblait pouvoir sortir de ses yeux pour carbonisé sur place l'homme de l'ombre ... La politique de la peur ... Il lui dis d'une voix dont il ne camouflé pas la haine :

Espece de petit ... Peverell et a Azkaban , comme bientot tout vos sous fifres . Je ne louperai personne . Et toi , quand tu sera seul , je t'éclaterai la machoire sur le sol . J'ai déja gagné cet bataille , Graindor !

Il lui sourit , son sourire contenait beaucoup de choses .... Puis on frappa a la porte . Il dis alors :

Entré !

Quelqu'un lui avait dit d'entrer. Alors elle obéit, mal à l'aise près de ses gardes à l'air sérieux. Elle ouvrit la porte avec toute la délicatesse dont elle était capable. Elle regarda la pièce. Percy n'était pas seul. Un homme se tenait près de lui. Léane ne le connaissait pas, mais elle devinait aisément qu'il n'était pas un ami. C'est pour cette raison qu'elle ne ferma pas la porte immédiatement. Elle prit un air déterminé et s'avança vers le lit, espérant chasser cet intrus par sa présence. A quelques pas du lit, elle sourit et dit :

- Bonjour Percy. Je suis venue dès que j'ai su...

Elle jeta un regard vers l'intrus avant de ramener son attention à Percy.

* Pourvu qu'il me reconnaisse...*

Percy Weasley lanca un dernier regard de haine a l'homme qui se tenais pret de lui . Il serra les draps qui le recouvrai , il les serra si fort que sa main devint blanche . Il empéchait le sang de passé , il se retenais si fort d'apellé les gardes devant . Des ses poignet monté cette résistance , et Graindor qui resté dans sa purulente ignorance ... Il lui lanca se regard qui veut dire "On se reverra" . Il regarda alors la porte , quand s'ouvrit tout délicatement . Et il vit entré ... Ho ! C'était la petite fille de madame Balaqua ! Elle avais était gaté par les années ,et son visage resplendissé , rayonnais même . Il vit qu'elle ne fermer pas la porte ,et il compris tout de suite se qu'elle faisais . Qu'elle preuve d'intéligence .

Il ne regarda dés lors plus Graindor : Il regarda la jeune fille , qui d'une démarche élancé , marchait vers lui . Elle avais une telle préstance , elle se tenais droite , des traits parfait . Son visage ... Il donné l'impréssion qu'il pouvais contenir toute les expréssions du monde , comme si tout les visages humains c'était gréffé la . Il vit dans les yeux de la jeunne fille , dans les mirois de son âme : Elle avais peur , elle était timide , elle craignais tout . Tout était si nouveau pour elle ici , et cet homme de présence hostile devais peut être l'impréssionné . Tout ses chamboulements dans son esprits se mélérent a une autre sensation que lui apporté la petite fille de Madame Balaqua

En effet , elle était venu le voir , et sa c'était le plus beau des présents , cette jeune fille qu'il n'avais pas revu depuis des années , venais le voir , quand il était souffrant . Un grand sorcier a dis un jour : On reconnais ceux qui vous aime dans la souffrance . Et il avais raisons , cet fille était importante , ou elle serai importante . Son esprit sembla alors démaré , comme une voiture qui sort d'un tas de boue , et partit au quart de tour : Il lui montra en grand letre doré , devant ses yeux ; le prénom de la jeune fille : Léane . Il lui dis alors :

Léane ! TU a changé ! Comme tu a grandit , et tu et si belle ! Je suis si fier et si content de te voir ici ! Tu n'imagine même pas a quel point sa me fait plaisir ! Vien la que je t'embrasse !

Il lui sourit , avec toute la joie dont était capable le Ministre Adjoint de la Magie . Il avais complétement oublié la présence de l'ombre .

Léane vit le regard de Percy s'illuminer quand elle entra. Elle fixa sa main, serrée si fort sur le drap que plus une seule goutte de sang n'y circulait. Celle-ci se détendit soudainement, comme elle lui souriait. Elle n'osait pas bouger. Malgré tout, elle se donnait une contenance. Elle sentait sa baguette dans sa poche, prête à être utilisée en cas de besoin. Percy la dévisageait. Soudain, il s'adressa à elle, le regard joyeux.

Léane ! TU a changé ! Comme tu a grandit , et tu et si belle ! Je suis si fier et si content de te voir ici ! Tu n'imagine même pas a quel point sa me fait plaisir ! Vien la que je t'embrasse !

Cette fois c'était sur. Il l'avait reconnue. Léane était très heureuse et cela lui donna du courage. Son sourire était plus beau que jamais. Elle s'avança vers Percy, ravigorée par ses compliments. Elle embrassa Percy puis se tourna vers l'homme inconnu. Elle lui montra la porte, restée ouverte. Puis son attention revint à celui qu'elle était venue voir.

- Alors Percy... Comment tu te sens?

Elle avait dit cela avec un sourire radieux. Cette question aurait pu paraître stupide mais pour Léane, elle était importante. Elle s'était inquiétée depuis qu'elle avait reçu son hibou et elle voulait absolument savoir comment allais l'auror.

Tod tournait le dos a cette touchante scène qui le dégoûtait. Il souriait toujours, et quita la chambre. Avent de passé le pas de la porte, il dit :

On se reverra mon ami…

Il transplanat.