Les Ombres approchent… (Phase 1.1)

L’ombre marchait dans la rue étroite un diamant de la taille d’un souafle dans la main droite. Derrière lui, des hommes marchaient dans son sillage. On pouvait reconnaître Ashigaru, l’ombre nocturne, un énorme ours et plus de quarante morts qui marchaient, des inferis.
Ils avançaient silencieux dans cette nuit sans lune, ils se dirigeant vers la place du village, un village de moldu du nom de Brinklow. Un peux plus de 1000 âmes vivais ici, ils n’en savaient rien mais demain ils seraient tous morts. Les Ombres marchaient le long des rues battues par les vents. Le plant se déroule comme prévu, j’espère que de son coter sa se passe bien, pansa le maître des ombres. Ils longèrent les ruines d’un vieux château avent d’arriver sur la place du village l’ombre sans visage pris la parole toujours cet immense diamant dans les mains.

Messieurs, Mesdames, l’avènement est arrivé, Amusez-vous, se village est a vous, je veux toute les âmes de se villages !

L’Ombre sans visage murmurait, Ombazmor en tendant la baguette vers le ciel. Et la marque des ombres apparu dans les cieux. L’Ombre traça a l’aide de sa baguette une rune sur le sol tout en murmurant des formules magiques inconnues, un fois terminée la rune sa mis a scintillé et une explosion de lumière blanches envahi le village une fraction de seconde. L’Ombre plaça la gemme au milieu de cette rune brillante elle lévitais en son centre et un rire sans joie si fit entendre… Tod était heureux tout se passais comme prévu…

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La lumière éblouissante m’aveugla en premier lieu, puis je m’habituai peu à peu, je me retournai et regardai un à un les membres de mon armée d’inféris, ces cadavres putréfiés qui travaillaient sous mon commandement et j’étais fier d’eux, la vie était en eux cependant, pas sous forme d’âme mais bien sous la forme de milliers d’asticots, vers et mouches diverses et l’odeur qui d’en dégageait avait d’ores et déjà fait fuir tous les animaux de la ville. Les yeux, ou du moins ce qu’il en restait étaient perdus dans le vague, leurs âmes étant perdues à jamais et ces créatures m’obéissaient aveuglément, je décidai donc de lancer l’assaut. Mes créatures s’élancèrent à la conquête de la ville, fracassant les portes de leurs membres lourds et insensibles à toute douleur continuant, malgré les blessures à progresser dans la ville. De toutes part des cris de terreur s’élevaient, j’entendis parfois des tirs et bientôt le massacre débuta, de toutes parts, des moldus mourraient, je sentais toute leur détresse, leur angoisse, leur peur et leur mort, moment jubilatoire, les âmes de mes victimes s’élevaient de leurs corps dans une lumière blanchâtre fantomatique et étaient irrémédiablement aspirés, capturés par le gemme placé par Tod au centre de la rune… Ne restaient après le passage de mes inféris que des cadavres inerte, de simples morceaux de viande à demi dévorés. Je me décidai donc de participer un peu, je choisis une maison qui n’était pas encore prise d’assaut et y pénétrai en fracassant la porte d’un coup de pied. Là, une famille se tenait le père, la mère et leur nouveau-né. Le père m’ordonna de ne pas approcher, monstre m’appela t-il… C’était bien mal me connaître… Il s’avança vers moi, une arme à feu à la main, j’avançai calmement dans sa direction, il tira une fois, deux fois, trois fois, chaque coup faisait mouche, mais je continuai, imperturbable à progresser dans sa direction, il n’en croyait pas ses yeux, ma peau se refermait et cicatrisait instantanément à chaque tir, puis j’arrivai à son niveau, je sentais la peur, la crainte, la rage dans ses yeux, c’était un homme rigoureux et je fus surpris par le plaisir que j’éprouvai à le sentir se débattre en jurant. Le concierge que j’avais tué la veille était âgé. Cette fois, j’avais affaire à un corps jeune et musclé. Ses mains qui me frappaeint et ses injures m’excitèrent plus encore, mais il n’était pas de taille. Je ne tardai pas à plonger mes crocs dans l’artère de son cou, juste assez pour qu’il ne puisse que regarder la suite des évènements sans pouvoir bouger, encore conscient mais trop faible pour réagir. Je me dirigeai ensuite vers la mère et l’enfant… La mère me supplia au nom de son Dieu de la prendre elle mais de laisser vivre l’enfant, j’acceptai la première partie du contrat et la tuai à son tour malgré les cris de haine de son mari, impuissant face à sa femme, ne pouvant plus bouger…Je la vidai de son sang, ce sang plein d’amour maternel, qui est empli de tant d’amour qu’il vous en donne à vous aussi. Elle tomba à terre, je la regardai une dernière fois, le visage pâle et les yeux clos, on aurait dit qu’elle dormait si elle n’avait point eu au creux de son cou ces deux trous sanguinolants… Des larmes coulaient le long des joues du mari qui venait d’assister au meurtre de sa femme impuissant, je ne pu me retenir de rire bruyamment, je m’esclafai littéralement devant cet être pathétique d’un rire incontrôlable… J’entendis mes inféris qui revenaient à moi je pris le bébé dans mes bras et tirai la loque humaine à l’extérieur de la maison, là, une trentaine d’inféris étaient venus me rejoindre, chacun un cadavre robuste derrière eux, de futurs inféris encore frais… J’avais bu à satiété et ne voulut point finir le mourant, je le laissai donc aux bons soins de mes inféris qui se jetèrent sur lui dans des cris à glacer le sang… Je tenais toujours le bébé et l’ammenai à Tod, lui disant :

-Voilà, je crois qu’on a fait le tour, tiens, fais-en ce que tu veux, je dois le laisser vivre il paraît mais toi….

Enfin, de ma manche, j’essuyai le sang qui coulait encore de ma bouche. Au loin, je voyais des gens qui avaient réussi à s’échapper. Mais qu’importait, ils deviendraient probablement fous après cette nuit cauchemardesque…

L’Ombre pris l’enfant de la main droite et posa sa baguette sur son front.

- J’ai besoin de son âme. Pas d’en mioche Avada Kedavra dit t-il et une lumière blanche sortit du petit corps maintenant inerte, pour se dirigé vers le diamant qui brillait de milles feux…

- Tu devrais te méfier, n'as tu donc jamais étudié l'histoire de la magie? Souviens-toi que c'est en faisant ce que tu viens de faire qu'on s'est retrouvé avec un Harry POTTER, tu sais, je viens de tuer sa mère, tu as eu de la chance qu'elle n'ait pas été sorcière. Ce qui me rassure, c'est que j'ai respecté ses dernières volontés, J'AI laissé vivre son fils.

Un rire narquois me prit, sûrement du fait de la nervosité et de l'ambiance qui régnait ici, une ambiance de ténèbres...

Trépignant a l’idée de pouvoir tuer des moldus pour la cause , Kodiak s’enfonça dans la nuit.
Marchant tranquillement sur un trottoir sombre. Soudain attirée par les pleurs d’un nourrisson, elle huma la douce odeur viande fraîche qui lui titilla les narines et excita son appétit dévastateur.
D’un bond elle traversa la fenêtre qui vola en éclats et émis un grognement sourd.
En l’espace d’une seconde, elle atteint sa proie.
Par le bruit ; le père du petit moldu fit éruption dans la pièce, une arme blanche entre les mains .
un son rogue remonte de la gorge de Kodiak, face a elle le moldu se mit a trembler le visage livide .
Il n’eue pas le temps de se servir de son arme car d’un coup de griffes acérées Kodiak coup de corps de celui-ci.
Ce régalant du spectacle du corps sans vie gisant dans une marre de sang kodiak pousse un grognement de satisfaction puis ressortit de la ou elle était entrée.
Le spectacle dehors était plutôt amusant. Les inferis courraient après leurs proies ; les moldus qui courraient dans les rues sombres.
Les cris de paniques et de douleurs encourageaient Kodiak a en finir avec eux , elle se mit sur ses deux patte arrières et balayant l’aire de ses pattes avant pour en tuer le plus possible.
On pouvais distinguer non loin de la , des eclaires verts jaillir de part et autre du village.
Kodiak cherchais l'Ombre sans visage du regard tout détruisant les quelques moldus et échappaient au inferis.
Elle était maculée de sang…

Karl, marchait à coter des Ombres. Aujourd'hui, etait un grand jour. Il allait tuer des moldus tout pleins de moldu, et tout ça dans une ambiance de seine caramaderie avec ses amis Ombre.
Apres que l'Ombre Sans Visage ai fait ses incantations, Karl passa à l'action. Il explosa un mur et fit irruption dans une salle à manger.
Baguette à la main, il tua ses occupants de maniere affreuse, chaque ame parti vers le diamant, avcant que celui-ci l'avale. Ayant trouver une occupation, il s'y donna en plein. Heureux comme un enfant lors de Noel, il entra dans une nouvelle maison. Une vieille femme age etait en train de regarder un appareil qui diffuser des images. La technologie moldu, qu'elle horreur.
Il pointa sa baguette sur la mémé et lui cassa tout les os, ils craquerent avec un bruit sordide. Puis il lui coupa tout les membres, il continua à s'amuser avec la vieille avec des actions toute plus tordus les unes que les autres. Lorsqu'elle mourut, ce fut avec soulagement que son ame rejoignit le bijoux.
Et il continua ainsi. Tuant et capturant tout les enfants de moin de dix ans qu'il trouvait, lorsqu'ils furent assez nombreux, Karl fit un veritable feu de joie, ou il donnait la cadence. Les ames s'echapperent nombreuse de ce feu et le diamant fut bien alimenter.
Les choses se compliquerent à l'arriver d'une patrouille de police. Karl, fit exploser la voiture.
Il entra dans une maison et tortura violemment un couple devant les yeux de leur fille. Karl la laissa en vie et l'ammena en balade pour voir tout les cadavres. La fille de douze ans vit des choses qu'elle n'a jamais penser. Elle finie sa course suspendu en l'air.

Kaïn avait la plus petite parti du village, lui n'utilisait rien sauf ça baguette. Il n'aimait pas faire souffrir, il le faisaient car c'était nécessaire. Un Avada Kedavra pars ici, un endoloris par là. Plus avançait, plus il y prenait gout.
Le sorcier avait toujours l'air impassible, il explosa la porte, et entra dans une grande maison, un homme âgé de 40 ans environ sortit un fusils, Kaïn savait que ces armes là étaient dangereuses, il n'eut pas le temps de s'esquivait quand une balle se logea dans son épaule. Kaïn ne ressentait pas la douleurs, mais il savait que son corps souffrait. Un sourire mi-moqueur, mi-ironique se fit voir, Kaïn ouvrit la bouche pour la première fois, il ne lançait que des sortilèges informulé.

Tu va souffrir mon ami. Impero, dit il d'une voix sans timbre.

Le visage de l'homme devient inexpressif, et d'une voix froide comme un hiver polaire, il dit :

Tue ta famille, tue tes enfants.

L'homme se tourna vers son fils visa et tira une balle dans la tête, il visa son autre enfant, et une autre balle fusa dans la tête du gamin. La dernière balle était pour se femme, il visa et il fit encore mouche, pendant toute la durée de l'action, la panique se fit entendre, les cris, les morts, les moldus qui demandaient pitié. Kaïn sortit de la maison, son visage toujours aussi impassible, il avait maintenant une autre manière de tuer.
Il incendia une maison, en bloquant tout les issus, on entendait des cris, on pouvait sentir dans l'air une odeur de chair grillé.
Plus loin, il vit une mère agonisante tenant un bébé dans ces mains, Kaïn s'approcha et lança un Impero, il demanda à la femme de tuer son enfant. La femme résista un peu, mais Kaïn était puissant, elle prit le bébé par les pieds, et l'approcha du trottoir, et elle commença à taper jusqu'à que la tête du bébé soit fracasser comment on fracasse un oeuf. Kaïn regardait la femme tuait le bébé d'un air indifférant, il avait décidé de laisser la femme en vie, peut être qu'elle va se suicider qui sait ?
Après avoir finit de tuer beaucoup de moldus du quartier, il laissa cinq personne encore en vie, mais totalement mutilé.
L'un s'était coupé les mains, lui même, l'autre avait tuer sa famille puis s'était crevé les yeux, un autre encore s'était enfoncé des aiguilles dans les tympans, un femme s'était coupé le visage en lambeaux, ne laissant apparaître que de la chaire ensanglantée. Un autre moldu avait prit un marteau, et s'était brisé les os du fémur, et des doigts, et pour finir en beauté, la dernière, la femme qui avait tuer son enfant avec pour seul arme un trottoire, avait l'âme et l'esprit meurtris.
Après avoir fait une petite ronde pour vérifier qu'il n'y avait pas d'autre témoins, il revint vers son mentor, et dit d'une voix grave et froide :

J'ai finit avec le quartier Est maître.

Petite précision, Kaïn utilise le nom maître pour désigner, l'Ombre Sans Visage. Le sens du mot maître est ici utilisé comme un synonyme de professeur. Kaïn attendait ainsi auprès de son mentor, regardant et apprenant au près de son maître.

KamiraZ transplana , son sourire des grands jours fixait a ses levres . Il avait envie de tuer tout le monde pouvait le voir sur son visage .
Il avait un grand sourire narquois , ses cheveux formant une méche sur le côté , laissant apparaitre son regard blanc , son regard d'ange .

Sa robe blanche habituelle avait laissé place a une tenue plus adapté au combat , elle était formé d 'une tunique blanche et d'un capuchon de la meme couleur ; pour le haut; et d'un pantalon ample permettant d'avoir des mouvements plus libres ainsi que des petites chaussures noirs à bout pointue.

Son coeur grand ouvert à l'habitude , avait été rempacé par son coeur de démon . Sa vie ne rentrait plus en compte maintenant , il était là , avide de morts et c'était tout .

Il avait sa baguette dans une main , qui déjà projetée des lumières vertes dans tous les sens . C'était un carnage dans son quartier . Avec son épée dans l'autre , il tranchait tout ce qui passait . C'était une épée assez courte , coupante comme un rasoir , elle avait un pommeau doré finissant en une orbe blanche . La lame était legerement courbée permettant de meilleurs incisions , on voyait des lettres qui devaient être tirée de l'alphabet elfique

Il avait vu un des derniers magiciens du village , ce fou de premiere , essaya de lancer un sortilege de la mort , sur l 'ange déchu qu'il avait en face de lui , le sortilège fut esquivé facilement par contre , à l'aide d 'un Sectum sempra , une grande entaille coupa l 'homme en deux . Tout cela se passait devant les yeux de sa femme qui était en train de se faire assassiné par un des Inferis.

Puis soudain , plus un cri , juste le doux bruit du silence . Plus rien , le repos . Son épée était pleine de sang au contraire sa robe n 'avait pas une tache . Il ne manquerait plus que je me tache pensa t il.
Il était temps de rejoindre les autres mais avant il inspecta pour voir s'il n'avait pas oublié un enfant ou deux

Karl, finit lui aussi sa besogne.
Avant, il devait laisser un peit message. Il captura les cinq dernier survivant, il les mutila et à l'aide du sortilege de l'imperium, chaqu'une de ses victime ramasser son propre membre, un bras, une jambe, afin de s'en servir pour ecrire un jolie message sur le goudron de la place principale, en dessous du diamant. Le message etait celui ci:

Une nouvelle ere commence, tremblez devant nous ou mourrez, moldu et sang de bourbe, traitre à leur sang et infidele, comme eux votre heure arrivera...tres bientot!

Une fois le message inscrit, il suspendu en l'air ses cinqs victimes qui rejoignirent la petite file. C'etait ses six temoins.
Il retourna dans quelques maisons, ensorcelant plusieur objet, qui, lorsqu'un moldu entrerait, se ferait attaquer sauvagement par des couteux, fourchette, tele, fer à repasser. Apres sês petites incantations, il retourna pres de son maitre.

J'ai finie mon quartier maitre, il y a des temoins, j'en ai laisser six.

Il regarda, le village un sourire au levres. Voila la premiere ville fantome d'Angleterre.
Mais ça avait etait trop facile, aucun auror, aucun sorcier, pas l'armée rien.

L’ombre regardais le travaille de ses ombres, ils avaient bien travaillé. Son fidèle sourire diabolique sur les lèvres il regardais le diamant a ses pieds que brillais de milles âmes. Cette nuit beaucoup de sang avait coulé pour le plus grand bien. Il étais sur que le ministre et les aurors ne comprendrais pas la beauté de son acte mais il s’en fichait. Il ne comprenne jamais rien de tout façon… Tod se mis à rire au éclat, un rire froid sans joie, totalement dénier de pitié. D’un geste de la baguette il fit lévité le diamant jusqu'à sa main droit et pris la parole.

Cette nuit, vous avez tué des gens pour défendre nos idées. Vous avez détruit des vies pour le bien de tous, vous avez rasé un village sans états d’âmes, il parlait d’une vois fort et sans pitié pour êtres entendu de tous. Que cette nuit reste dans l’histoire comme l’avènement d’une nouvelle ère, d’une ère où les ombres on montrer que rien ne pouvais les arrêter, où le monde leurs appartiendra, le ton de sa vois changea maintenant, il étais froid et autoritaire. Vous pouvez rentrez, je termine le travail.

L’Ombre pris sa baguette se concentra un instant et dit d’une vois claire, FEUDEYMON. Là, une immense gerbe de feu jaillit, et atterris sur une maison presque en ruine non loin de la place du village. La chaleur était étouffante, les flammes se propagèrent à une vitesse surnaturelle. Une seconde plus tard, toute la maison était en feux, et la seconde plus tard, les habitations mitoyennes. Tod restait là a regarder le spectacle, se délectent des flammes sui prenais par endroit des formes animalières, des serpent, des aigles, des fouine… Tod transplana, en pansant que les gars du ministre allais bien rigoler pour éteindrent les flammes…

Après le discours de son maître, Kaïn regarda la scène, c'était très macabres, des corps mort et sanguinolent jonchaient le sol de la ville, Kaïn n'a pas éprouvé le même plaisir que ces amis, mais il ne s'en inquiétait pas outre mesure, comme disait le maître, c'est pour le plus grand bien. Kaïn tuait car c'était une nécessité, il ne le faisait pas comme, une corvée, non mais plus tôt comme une dératisation, les rats était ces ennemis et les moldus, et lui était le dératiseur, il ne le faisait pas de gaité de coeur, mais il n'était pas triste non plus. Kaïn voyait les choses comme ça, si une fourmilière se trouvait dans un chantier de construction, les ouvriers allait détruire cette fourmilière pour pouvoir à nouveau construire, et tant pis pour les fourmis qu'y se trouvait là. Voilà comment Kaïn voyait les choses, il n'éprouvait pas de plaisir à tuer des fourmis, de même qu'il ne prenait pas plaisir à tuer des moldus.
Kaïn regarda son maître lançait un sort puissant, voyant le feu recouvrer la ville, il trouva le spectacle très beau, c'était la seul chose où il prit plaisir dans cette soirée, regardait les flammes à toujours était un spectacle très attrayant pour l'homme, en voyait un gigantesque lion brûlait une maison en bois, l'Ombre trouvait ce spectacle d'une beauté exquise.
Soudain, la tête de Kaïn se fit douloureuse, "Il" allait refaire surface...
Le disciple s'approcha de son maître et dit d'une voix pressait :

Il refait surface, Il arrive, je reviendrais maître, dites moi seulement où vous retrouver. Ne vous inquiéter pas, Il ne se souviendra de rien, mais je saurais tout ce qu'Il dit, fera, ou verra.

L'Ombre Sans Visage, lui dit où le retrouver, Kaïn transplana, et cria, il faisait sombre et froid. Il était à nouveau chez lui.