Patrouille pour le ministère ... [libre]

Le ciel s'était soudainement éclairci... Surpris , William avait attrapé sa baguette et l'avait pointée instinctivement sur le lanceur du sortilège qui n'était que Percy Weasley et qui s'adressait à lui :

- Patrouille toi aussi?

Mais fallait-il lui faire confiance ? Etait il vraiment Percy Weasley , fils de Arthur et Molly Weasley , ou bien n'était il qu'une simple copie résultant d'une absorbtion de polynectar ...

- Percy ? C'est vraiment toi ? Je ne baisserais pas ma baguette tant que tu n'auras pas répondu à cette question : Qu'est il arrivé à l'oreille de ton frère Fred ? Lui demanda t'il pour savoir si il s'agissait bien du vrai Percy ...

[Hum, si j'peux me permettre les gars, c'est George qui a eut l'oreille coupée, et Fred est six pieds sous terre. Bande de baka xD]

La baguette tendue, je suivais un sentier dans la forêt. Qu'est ce que je pouvais bien foutre ici était LA question. Et bien pour parler peu et bien, j'ai appris grâce aux racontars de Poudlard [Yeah je rime ! xD] Que la marque des ténebres avais été lancée dans la forêt. Grace a tous les témoignages je réussis rapidement a évaluer un périmètre type, et j'étais finallement venue moi même.

Pourquoi ne pas avoir prévenu un professeur ? Simplement parce que j'avais du mal ces derniers temps a leur faire confiance. Il faut dire qu'après les dernières révélations de Percy, des fanatiques / mangemorts sont de retour. Et cela est bien étrange, puisqu'en principe ils n'agissent pas a la légère pour passer le temps, ils sont bien trop lâches pour se montrer s'ils n'étaient pas assurés.

De plus, la marque des ténebres a été lancée, se qui montre en principe qu'un meurtre a été fait. Et c'est la victime, et pourquoi pas son agresseur (ou ses) que je recherchais. Je pensais bien que c'était idiot, mais comme je l'ai dis je n'ai aucunement confiance aux professeurs, le polynectar existe, et je suis pratiquement sur qu'un professeur au moins a été infiltré. Se serait logique, dans la seconde guerre Voldemort a voulu prendre le pouvoir et a contrôler le ministère. Nous avons été gênés, mais il n'a pas eu Poudlard. Il essais donc dans la troisième (ou quelqu'un essais a sa place) de combler les lacunes, et de mettre poudlard a ses pieds. Et pour cela, il faut attaquer de l'intérieur, comme un cheval de troie...

Je fus coupée dans mes rêveries par un sortilège de couleur or, que je n'identifia pas puisqu'il n'eut aucun effet. J'imagina donc que mon protego informulé avait réussis, allons savoir.
Je pointais ma baguette, tout en murmurant "Lumos maxima", et regardant dans les environs qui étais le jeteur de sorts, gardant ma baguette pointée, sur mes gardes.

Percy marchait avec une détérmination sévére; appuyé . Son allure somme toute alembiquer , il marché comme un militaire enervé aprés son subordonné . Il se dis que tout cela ne rimais pas a grand chose , mais pour se donna constance se dis que c'était juste histoire de lui faire peur . La jeune Gryffondor , il l'éspéra trésailli avant qu'il l'arrive pensant a cet éventuel corréction . Il avais cet air sévére , celui qu'il n'aimer pas . Lors de sa marche funébre et appuyé vers Lilith , il croisa son regard avec celui de la jeune fille . Il fit donc la premiére érreur . Dans ses yeux ; on voyais sa premiére peur , sa premiére réflexion , ses primaires impréssions... Dans les yeux de Percy , se livrai un premier rien . Il cru voir toutes les émotions de la jeune fille se poussé , vouloir prendre la place des autres . Elle se batté pour prendre place dans la sylphe . Les herses se fermerent en deux yeux qui commencerent a avoir l'air triste , puis enervé , puis déterminé . Enfin , aprés l'avoir regardé avancer , elle sourit . Les yeux de la jeune fille s'était ouvert , elle devais avoir eu une bonne idée , enfin du moin le croyais t'elle ainsi . Il le toisa et quand il fut a deux metre de lui et fit sembla de tendre le bras , elle lui cracha presque au visage ses paroles purulantes , et amusante d'ironie... :

« J’aurais ma majorité dans quelques mois, je ne vois pas réellement se qui me sépare de v… de quelqu’un qui ne veut pas rester bras croisés... De plus il me semble que vous êtes mal placé pour les fessées, voyons c'est le rôle de ma très chère mère ! Vous n'avez pas assez de violence, et je crains que vous ne pourrez jamais arriver a son niveau ! Mais ne désespèrerez pas, c'est en forgeant qu'on devient forgeron ! Mais je ne me porte aucunement volontaire, et serait même prête a en répondre si l'occasion s'en donnait.»

Percy , qui avais apprécié la hardiesse et le courage de la jeune femme ; qui s'apprété seulement a la sermonné sévérement , a la chance qu'elle représente pour l'ordre , par son âge et ses capacités . Elle devaient prendre soin d'elle , pour elle même , et pour la vie des autres . Il fut choqué , surpris de voir que son élan héroîque avais eu une mutation génétique dans l'esprit de la jeune femme . Elle lui a vais balancé les paroles qui lui firent mal . "Quelqu'un qui ne veut pâs rester les bras croisé" ... Lui ,il avais perdu un frére , parce qu'il n'avais pas su resté les bras croisé , il s'était brouillé avec sa famille pendant quatre ans : Il avais juré que pour toujours il ferai le maximum . Et elle se comparé a lui de facon si familliére , si brutale . Il repensa a Fred puis ... Sentit sa gorge le brulé fortement . Elle ne savais même pas quoi lui répondre . Elle le provoqué comme une enfant . Les enfants empire les conflits touletemps . Elle se moquer même de lui "Mais ne désespèrerez pas, c'est en forgeant qu'on devient forgeron !" . Trop d'émotion . Il la gifla , sans réfléchir . Se manque de respect envers Percy j'avais choqué . Puis il eu peur , d'avoir frappé beaucoup trop viollement . C'était pas trés fort, mais cingla , sur la joue avec le bout des doigts. Il se rapprocha d'elle , car elle avais un peu titubé . Il lui pris l'épaule , il ne refléchissé toujours pas, les larmes au yeux , devant Lilith . Il lui dis d'une voix ,douce , comme dans la salle commune

"Je suis désolé Lilith , je ne sais pas trop se qu'il m'a pris . Tu a dis des choses irréspéctueuse , alors que c'est de ta faute tout sa ... Et puis tu et jeune et je suis un Auror de 35 ans ."

Il lui sourit béttement ; tombant subtilement dans les méandres des yeux de Lilith



(Signature Nothombienne A toi d'imaginé si la suite et bonne ou mauvaise pour toi/nous

William avait remarqué la présence de Lilith quelques secondes après Percy... Il s'était retourné et les regardait tout les deux. Percy ne semblait pas réagir normalement, comme trop absorbé par la jeune fille qui se tenait devant lui... William le laissait faire car apparement , Percy la connaissait. Il n'avait pas besoin de savoir ce qui pouvait bien se dire entre les deux et donc il continua à marcher de long en large dans la forêt , à petite foulée, s'éloignant d'eux petit à petit pour finir par ne plus les voir...

Soudain , il y eut un claquement raisonnant au loin et William se retourna aussitôt. Quelqu'un là-bas , avait frappé l'autre. Pas le temps de réfléchir, il se mit à courir, prenant de grandes enjambées pour retourner dans la zone où il les avait laissés quelques minutes plus tôt. Pendant sa course il en entendit un deuxième claquement...

Lorsqu'il rejoint Percy et Lilith, ils étaient face à face , se jetant des regards de braise...

- Qu'est ce qui se passe ici ?

Ils restèrent de marbre , l'ignorant complétement... Soudain Percy attrappa le bras de Lilith ! En deux temps trois mouvements, William avait attrapé sa baguette et l'avait pointée sur Percy , prêt à lui lancer un sort ... Mais ce que fit son collègue l'étonna : il avait enlacé la fille qui devait bien avoir 20 ans moins que lui et l'avait relachée calmement...

- Percy qu'est ce que tu fais ? demanda William avec sévérité ...

Je n’aurais pu anticiper se qui allait se passer. Non, vraiment. Je pensais soit qu’il allait me ramener illico dans le bureau du directeur, que j’allais me prendre des heures de retenues avec je ne sais quel professeur, pourquoi pas lui-même, sûrement lui, des heures entières a écrire des lignes, ou plus probablement nettoyer des trophées… Ou pire encore, qu’il allait m’attaquer par magie, mais lui non plus ne mélangeait apparemment pas magie et physique. Et pourtant, je me tenais prête a incanter protego en informulé …
Mais pourtant, se ne fut pas sa réaction. Je pensais autrement qu’il rebrousserait chemin, qu’il s’excuserait… Mais se ne fut pas non plus se qu’il fit.
Je n’aurais vraiment pas pu m’y attendre.

‘Et puis, il n’y eu plus rien’…

C’était exactement cela, oui. Plus rien. Mon cerveau avait du mal à réfléchir correctement. Il voulait réellement me frapper ? Je réagis comme bien souvent, violemment. On ne porte pas la main sur moi. On ne porte plus la main sur moi serait correct. Je n’aurais pu le tolérer. Et pourtant… Avec force, il me tenait par le bras, tout en me ramenant vers lui. La suite était claire, il allait me forcer a m’agenouiller et me frapper. Mais dans mon esprit, je ne voyais pas la fessée qu’on donne a un enfant qui n’a pas été sage, non. Je revoyais ma mère. Je me revoyait, le regard vide, sans aucune vie. Je me revoyais moi qui avait un statut en dessous du chien… Je la revoyais m’infliger milles tortures, et je me revoyais passer mes nuits (quelques heures, quatre au maximum), a essayer de trouver une position confortable pour dormir… Etant pendue par les poignets, poignets douloureux, attachée comme on pendrait un cochon près a peçeter… Le sang coulant de mes membres.
C’est à partir de cette époque que je devins insomniaque.

Je revoyais des images, je n’étais plus vraiment présente. Je ne savais comment les arrêter, comment revenir au présent, comment faire fuir tous ces tourments, me rappeler que j’ai fuis, me rappeler que je suis en Angleterre, et plus en France ; et que c’est Percy qui s’apprête a me frapper, et plus ma mère.
J’en viens rapidement a me dire que les malheurs me poursuivent, décidément.
En temps normal, je l’aurais frappé, je me serais dégagée, je l’aurais mordu même. Mais cela n’aurait rien changé, la force avec laquelle il me tenait était impressionnante, et semblait me réduire a rien. La seule chose que je fis, c’est tressaillir, et dire en un souffle, toujours dans ma stupeur.

« Non maîtresse… »

J’avais du mal à revenir à l’instant présent.

‘Et puis, il n’eut plus rien’…

Encore une fois, cette phrase s’accordait parfaitement à la situation. Disons même qu’elle s’accordait a merveille. Rien. Il n’eut rien dans ma tête. Rien ne s’enchaînait correctement. Tous mes souvenirs douloureux étaient partis a la trappe, et j’ai eu la nette impression, pendant le temps que dura l’étreinte, que se n’était pas réellement Percy qui m’enlaçais, mais Sirius. Comprenez, Sirius a toujours symbolisé, pour moi, l’éspoir. Lorsque j’étais en mauvaise posture, je me l’imaginais comme mon père. Pour moi c’était la seule personne dans ma famille qui était comme moi. C’était le père qui remplaçait celui que je n’avais jamais réellement eus… Si je parlais de cela à un psy, je me ferais enfermée. Penser de telles choses d’une personne jamais connue, et morte.
Dans un souffle, d’une voix basse, je dis seulement un nom qui m’échappa

« Sirius… »

Mais c’était ainsi.
Je réalisais tout de même que c’était Percy, et cela modifiait clairement mon jugement. Sans aucun doute, aucune hésitation, je savais depuis ce moment que je pourrais a tout moment le considérer comme un membre de ma famille, comme un parent.
J’afficha un sourire, et j’ésperais sincèrement qu’a ce moment, il usait d’une légillimencie de base, pour voir que j’avais définitivement enterré moi-même cette hache de guerre, et qu’il pourrait toujours compter sur moi.
Mais je n’eus pas le temps de le lui dire, et j’espérais tout aussi qu’il avait compris, dans la citation de Sirius, que je le considérais comme je considérais Sirius.

Non, je n’eus pas le temps de dire autre chose, puisque William fit son retour. Il semblait vouloir me défendre lorsque Percy semblait vouloir me frapper. Et finalement il paraissait très surpris et demandait à Percy se que tout cela voulait dire. Je crois qu’il avait mal interprété. Je ne savais pas vraiment quoi dire, pour ne pas m’attirer des embrouilles, étant donné que je venais d’y échapper… Je laissai donc le soin d’expliquer a Percy.

William n'en croyait ni ses yeux ni ses oreilles ... Percy avait l'air si anormal ... Qu'était-il arrivé pendant qu'il essayait de trouver d'où avait été lancée la marque des ténèbres... Pourquoi tout les deux étaient-ils si surpris de le voir revenir en courant alors que c'était bien eux qui s'étaient donné deux claques fabuleuses avant de se serrer dans les bras... Tout cela était si ... étrange ...

Percy voulait emmener Lilith au ministère ... Mais pourquoi faire ? Il avait de drôles d'idées parfois... La place de Lilith était à Poudlard avec les autres élèves et les professeurs, pas au ministère en compagnie d'un aurore ...

- Ben heu ... elle ferait mieux de rentrer à l'intérieur de l'école ... Tiens, au fait, c'est quoi son nom ? J'estime au moins avoir le droit de connaitre son identité exacte... Lilith comment ? ... Et puis ... Fais comme tu veux Percy , tu la connais mieux que moi après tout... Si elle doit t'accompagner jusqu'au ministère pour je ne sais quelle raison , qu'elle y aille ... Je continuerai de chercher tout seul ... Attention à ce que le ministre ne te trouve pas en train de ne pas travailler ou ca chauffera pour tes oreilles !

Lui avait-il dit en souriant, ne comprenant toujours pas pourquoi il voulait l'emmener au ministère ... Mais ca comptait peu pour William ... Percy était grand et savait ce qu'il faisait ... Qu'il fasse comme il l'entend ...